Réserve en cas de situations violentes : dose de kétamine
Ici pour une durée : indéterminée
Suivi par le docteur : Grant Brody [décédé durant le 2ème entretien] / Teddy Sullivan
Notes divers prononcées par le patient : Le patient énumère huit éléments de la pièce avec lequels il est persuadé de pouvoir me tuer. Il s'excuse et modifie sa réponse à neuf ... Il a maladroitement oublié de compter la monture de mes lunettes.
Le patient mesure dans les 1m95, gardant une corpulence athlétique (ndlr : "Eviter les balles, c'est un art sportif hermano ! Le mieux, c'est avec les grenades.", me répond M. Magoa avec un large sourire) et une physionomie faciale intimidante à mes yeux. Une longue crête d'un noir ébène se dresse sur son crâne, dévoilant ainsi une multitude de contusions prononcés dont une cicatrice grave qui retient mon attention. La cicatrice est longue et droite, elle semble être "gravée" par une arme blanche. Avec une telle précision, le patient devait être endormi, ligoté ... Ou a-t-il usé volontairement de ses propres mains pour s'entailler ainsi ? L'hypothèse de la collision d'une matière comme de la tôle suite à une explosion est improbable : cela lui aurait sectionné la moitié de sa tête. Je n'ai pas voulu lui poser directement la question pour le moment, nous reprendrons ... Ses yeux ... me fixent. Je peine à faire semblant de ne pas remarquer. Encore plus à continuer ma rédaction. De la sueur s'échappe des pores de ma peau. J'ai pourtant beaucoup travaillé avec des sujets comme celui-ci, mais M. Magoa possède ce regard primitif que l'on peut retrouver chez le lion ou le tigre, ce regard capable d'embraser et de consumer n'importe quel obstacle. Ces yeux foncés que l'on retrouve très habituellement dans la population sud-américaine, hispanique ... Mais surtout chez les indigènes. Je dois me concentrer davantage, il m'intimide.
Arborant l'identité d'un ange exterminateur, son habillement suit maladroitement cette direction. Il semble s'habiller toujours d'une manière légère, comme si un seul couteau peut lui suffire à vivre ... Et à survivre. Suite à deux dossiers où M. Magoa a participé à quelques génocides civiles au Guatemala, les mercenaires arboraient d'épais gilets pare-balles, de casques, de coudières et de genouillères ... Un AK-47 à la main, M. Magoa se trouvait nu et ensanglanté parmi eux, au premier rang devant des civiles non-armés, le seul à s'égosiller à pleins poumons en hurlant "Impérialistes ! Colonialistes de mes couilles !". Apparemment, il n'était pas à la tête de ces escouades ... Mais il avoue par lui-même que sa nudité, cette nouvelle image de guerre, l'a un peu aidé à ... à quoi ? Je l'ignore, il se contente de rire en se mordillant la lèvre inférieure.
L'idée de porter une armure ou quelque chose dans ce genre semble l'handicaper ou restreindre ses mouvements. Nous pouvons déjà imaginer que la furtivité et l'agilité ne lui sont pas inconnus ... Encore plus la reconnaissance de terrain puisque le patient démontre une attitude calme et active semblable à un animal qui traque, repère, massacre. Bien qu'il ait des aspects sauvages, nous avons pu retrouver une photographie d'un lieu inconnu (éléments architecturaux insuffisants) où il semblait attendre un contact. Le voici donc vêtu d'une manière que je qualifierai de "standard", [ndlr : repoussant la supposition que M. Magoa se balade nu autant l'hiver que l'été ...]. Une dernière chose : le patient a un amour fou pour les armes à feu [ndlr : ses blessures et ses muscles saillants le disent par eux-mêmes]. Mais là où ses aptitudes sont excellentes, c'est dans le combat au corps-à-corps où il se considère lui-même comme "indétrônable". Je l'ajoute ici dans le statut physique car il est préférable de lire ce détail assez tôt avant de rencontrer une situation fort fâcheuse ...
Statut mental :
Un membre dans le domaine de la socio-pédagogie, le professeur Bellic, s'est avancé pour lui faire un test visuel en lui montrant une série d'images neutres et subjectives (ndlr : des tâches d'encres à deviner quoi ... Ces gars en social pensent que ça va changer quelques choses ... Quelle bande de cons.). Durant l'entretien, M. Magoa s'exprime d'une voix molle sous l'effet des médicaments :
La première image : Un homme avec un trou dans le crâne.
La deuxième image : Un homme agonisant avec une clavicule détachée, les entrailles à l'air.
La troisième image : Un homme avec le crâne défoncé à coup de brique, la bouche béante.
La quatrième image : Un homme avec un crochet de boucher dans des parties génitales arrachées.
La cinquième image : Un homme avec ... Non, attendez ... Haha, je le connais ! Ouais, c'est Luis ! Putain, toujours avec sa moustache ratée ! Sacré Luis ... J'ai dû lui déboiter la mâchoire pour lui enfoncer une grenade dans la gueule.
La sixième image : Un homme avec les dents explosés en usant d'une clé à molette
Dernière image : -silence- (ndlr : yeux mieux réveillés et humides, bouche semi-ouverte, salive abondante, immobilité totale du corps ... le patient semble n'être plus avec nous. Je m'approche et regarde l'image à mon tour ... On dirait le visage d'une petite fille. M. Magoa semble ... *le reste des écrits est illisible et recouvert de sang*
Reprise du rapport après un délai de 2 jours suite au décès du docteur Grant Brody et de M. Bellic par Teddy Sullivan. Trois agents de l'institution se trouvent derrière M. Magoa. Ce dernier est dans une camisole de force. La médication a doublé.
Reprenons :
Le patient est un individu qui discute ouvertement, la langue facile et pendante par moment. Il semble dans une réalité que lui seul comprend, sans pour autant se détacher de la nôtre. A noter dorénavant que ce n'est que lorsqu'il est silencieux que le sujet représente une menace périlleuse. La frénésie est si forte et incontrôlable que le patient délaisse toute humanité dans le seul but de ... tuer. En effet, le patient n'a même pas tenté de quitter la salle une fois alignée les deux précédents cadavres. Il s'était rassis, puis a terminé le verre d'eau dans le gobelet en plastique de M. Bellic. Le sang ne semble pas l'affecté en mal. Au contraire, il semble que le sujet éprouve une certaine sécurité. Tout comme se rouler dans la boue pour ne faire qu'un avec le monde naturel dans lequel il se trouve. Un caméléon, oserait-je dire ?
D'un ordre verbal, le patient diverge entre la politesse et la grossièreté. Il a su préservé les bonnes manières et une conduite exemplaire, mais la violence de ses mots et la dureté de son regard me rappellent celui d'un sociopathe brut. Il n'hésite pas à m'aider pour approfondir mes recherches en me racontant des anecdotes de ses meurtres et d'autres actes encore plus extrêmes qu'un assassinat. Il me détaille avec envie toutes ces choses ... Il est tout de même incroyable que nous n'avions jamais entendu parlé de lui auparavant. Je vais d'ailleurs m'entretenir avec le docteur Fuentes à ce sujet ...
[Ndlr : Durant cet entretien, je converserai uniquement avec le Dr. Fuentes. Le patient reste dans sa chambre pour éviter des troubles ou autres comportements fâcheux. De plus, Fuentes semble être rassuré de ne plus le voir ... Il est toujours difficile de transférer un patient d'une prison à une institution psychiatrique sécurisée]
- Bonjour Dr. Fuentes. Permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue dans ce lieu de travail et de prendre ce moment avec vous. J'espère que vous parviendrez à me dévoiler certaines réponses à mes questions.
- Bonjour M. Sullivan. Evidemment, je suis ici pour cela. La collaboration doit être mise en avant, surtout pour un sujet tel que M. Magoa. Sachez seulement qu'il n'a jamais été connu avant l'assassinat du jeune Chris Jr., fils de Chris Murphy lui-même. Oui, je parle bien du politicien canadien. Il s'est malheureusement retrouvé au mauvais endroit et au mauvais moment. Mais cela, nous en discuterons plus tard ... J'ai donc établi tout un processus en partant de ce point de départ pour rédiger son anamnèse. Et permettez-moi de vous dire que cela ne va pas être très joyeux ...
La misère de l'enfance
Diago Magoa est né le premier novembre 1980. Oui, j'ai bien dis "Diago". Très peu de renseignements sur sa famille, mais il laissait entendre que tout allait pour le mieux. C'était une famille comme la votre et la mienne, aidant dans la communauté américaine et de bons patriotes. Seulement, ils résidaient déjà en Espagne. Et même si le patient ne me l'a pas avoué clairement, j'ai pu deviné son retour au Colombie avec sa soeur où la garde de son parrain l'attendait. Rappelez-vous, la dictature de Franco s'était éteinte en 1975 approximativement ... La guerre entre les nationalistes et les républicains étaient enfin fini. Mais même si le conflit avait cessé, certains autres partisans, des fanatiques pour beaucoup, n'avaient pas accepté que cela puisse se terminer ainsi. Deux soldats ont fusillé le père et la mère de M. Magoa, juste devant ses yeux. Il n'avait que 5 ans.
Spoiler:
Ana, sa petite soeur, n'était pas encore avec lui durant le drame. Tout deux ont été installés dans deux familles d'accueil avant d'avoir réussi à prendre contact avec la famille en Colombie. Le petit Diago avait vieilli. L'enfant gai et innocent avait totalement disparu. Il restait silencieux, impénétrable ... Nous avons recommandé à l'oncle de Diago de continuer les visites chez un autre psychologue pour enfant. Ana, la plus petite, avait un an. Elle ne se rendait pas encore de cette perte et j'ai envie de dire que c'est mieux ainsi.
Durant toute sa jeunesse et son adolescence, M. Magoa a été intégré dans des gangs locaux qui ne visaient qu'à briser les règles de la bonne conduite : vol, racket, meurtre ... Car oui, le patient maniait déjà la lame et selon lui, sa première victoire physique a été réglée à l'âge de 8 ans. Un dossier de police ici présent confirme ses dires car il fut arrêté immédiatement, il n'avait pas encore l'expérience d'être assez malin pour échapper à la police. Très rapidement, il a monté les échelons par sa brutalité et sa volonté de fer. Plus les combats s'enchaînaient, plus Diago se transformait en bête. Il a vu ses amis mourir dans des guerres de gangs sans merci, des camarades arrêtés par la police qu'il a longtemps exécré et bien entendu ... Consommé assez d'alcool et de stupéfiants pour changer les cauchemars terrifiants de ses nuits en une nappe blanche capable d'envelopper sa mémoire dans du coton. Mais ce qui importait, c'était qu'il osait commettre des actions ce que jamais personne n'osait faire omis lui-même. Du sadisme gratuit en passant par le déclenchement de troubles émotionnelles, la torture mentale en forçant quelqu'un à tirer sur un autre, une domination sur les jeunes adolescentes (des "putas" selon lui) si ponctuée qu'il préfère les égorger avant de dormir sur leur poitrine. Mais surtout, Diago devenait quelqu'un d'extrêmement dangereux. Et donc, de fiable. Tous pensaient qu'il n'avait plus rien à perdre et qu'il pouvait aller loin ... Et pourtant si. Oui, il avait encore un point faible. Encore une personne parvenait à éveiller en lui un peu d'humanité et d'amour. Sa soeur, Ana, avait une énorme influence sur son frère. A tel point que "Diago" devint "Dago", car Ana n'arrivait pas encore à l'épeler juste dû à son âge. Elle parvenait à l'adoucir, à se questionner sur son avenir ... A le faire vivre. Vous savez, cette vie que l'on ressent lorsqu'on ferme les yeux devant un paysage tropical e ou juste après avoir éjaculé sur sa femme avant de poser votre tête sur l'oreiller ... Mais les allez-venus entre la prison et les centres de toxicomanies furent nombreuses. Ce n'est qu'à l'âge de dix-huit ans que le patient est parvenu à franchir l'échelon final et à percer dans le milieu criminel : Dago Magoa a rejoint le Cartel.
Le monstre latin
Son casier est long. Très long. Trafiques de drogues et de stupéfiants à Cuba suite à la guerre du Vietnam (surplus de l'armée), de prostituées en Europe de l'Est qui vendaient leurs corps pour fuir en douce durant la Guerre Froide, de la vente d'armement en étroite collaboration avec les "Latin Kings", dangereux clan situé à Chicago et dans les alentours ... Magoa a exécuté des otages durant un braquage de banque sans prendre un seul dollar. Magoa a brutalisé et brûlé une vingtaine de corps alignés à Cuba pour une main d'œuvre non efficace. Magoa s'est enfermé dans un container avec trois prostituées russes pour ... Je préfère ne pas finir ma phrase. Mais elles ont cessé d'hurler après vingt minutes. Les dirigeants du Cartel appelait Magoa (alias "El Niño" durant cette période) pour des opérations risquées. Ils savaient que même si l'opération foirait, Dago avait assez de ressources pour foutre un bordel monstrueux et délivrer une souffrance cuisante dans l'âme de chacun. Son objectif à lui n'était pas l'argent, ni le pouvoir ... Dago voulait s'afficher. Être différent. Dago voulait tuer. Et Dago tua. Putain, quel enfoiré de salopard ... LE CHIEN !
- Modérez-vous un peu Dr. Fuentes, nous sommes entre collègues.
- Oui ... Excusez-moi ... Je reprends donc. Dago Magoa n'a jamais voulu être dirigeant. C'est un rebelle anarchique, un homme de main et un boucher. Il connaît son rôle, il le fait bien. Même si Dago ne recherchait ni l'argent et le pouvoir, il l'obtenait automatiquement car c'était un phénomène réputé et recherché par plusieurs autres organisations. Dago était une machine de guerre. Voici un flyer de propagande que l'on pouvait retrouver
Mais durant ces temps paisibles où la terreur portait son nom, sa soeur a réussi à le convaincre de décrocher de la drogue et des meurtres. Et par miracle, pour l'amour qu'il portait envers elle ... Il a étrangement accepté. Des gangs rivaux ont essayé de l'arrêter, la police locale a tenté de l'embarquer, deux tueurs à gages ne sont parvenus à le tuer ... Mais sa soeur, elle, a réussit l'impossible. Par contre, ce n'était pas de l'avis de ses patrons. Dago coûtait trop cher maintenant. Ils lui ont laissé un avertissement. Et un plutôt solide. Ils ont osé tué la seule personne qui pouvait encore contrôler le Colombien : Ana. Une descente de voiture, quelques MAC-10 à découvert devant sa soeur qui ressortait d'un centre commercial et le drame. Trouée comme du gruyère. Ils ... ont vidé un total de trois chargeurs sur elle.
Quand il l'a su, cette nouvelle ne l'a pas détruit. Il est resté totalement silencieux .... Du haut de son hôtel miteux, il était resté deux nuits assis sur son lit. Il attrapa un rat avec sa main et l'apporta dans sa bouche. Il pleurait en faisant craquer les os du rat dans sa mâchoire avant de recracher un liquide pâteux entre le vomi et le sang du rongeur. Ses yeux, son visage ... C'était l'image de la folie. Il n'a pas attendu un seul jour de plus. La nuit-même, il a fait appelle à tout ceux qui lui étaient fidèle. Ils ont fait une descente et comment dire ... Cela a été terrible. Tout a cramé avec des cocktails molotovs crées d'une manière artisanale. Le baron du cartel n'a jamais été retrouvé. Il a été remplacé par un autre qui le succéda immédiatement.
Le cerbère indomptable
Plusieurs années se sont écoulés, Dago n'a plus jamais donné signe de vie. Les organisations alliés pensaient qu'il était définitivement mort, supprimant l'idée de déclencher une vendetta sur sa tête. Et pourtant, il s'était réfugié dans les îles Galapagos. Je pense que c'est dans cette nouvelle atmosphère que Dago a dû le plus en chier ... Il a dû survivre avec quelques stocks d'armements, sans mercenaires à portée, aucune communication avec le monde extérieur. Il a failli y rester d'ailleurs. Bien entendu, il restait aussi loin des villages voisins pour éviter d'être repéré. Et pourtant il a réussi à s'en sortir en s'habituant à la faune et la flore. Son but dans tout cela ? Capturer les touristes qui venait y mettre les pieds pour s'emparer d'argents nécessaires à sa survie, de nouveaux vêtements et bien sûr ... De cibles à tirer. Et malheureusement, c'est là que Dago a rencontré Chris Jr. Murphy et un ami d'enfance à lui.
Spoiler:
Bon, vous avez pu repéré les têtes qui sortaient de la terre ? C'est le style de Dago. Violence physique, mais tout est dans le mental. Lui qui souffre de cet handicape, il compte bien partager sa douleur en nourrissant les victimes avec de la chair humaine, urinant sur leur visage en guise de vitamines ... Et pourtant, ce n'est pas le pire. Non ... Chris Jr. a aussi subit cette affront. Cette torture digne d'un psychopathe. Paix à son âme et à ses longues heures de tortures ...
Spoiler:
Quand à son ami d'enfance, eh bien ...
Spoiler:
... Bref. Vous l'avez compris. Ces vidéos ont été diffusés dans tout le réseau Internet et Dago a facilement pu être retrouvé. C'est ce qui nous conduit maintenant à vous, Dr. Sullivan. Qu'allez-vous faire de Dago ? Où est-il en ce moment ?
- Mon cher, Dago est un infortuné. Nous sommes le cinq décembre et disons qu'une épidémie soudaine a déjà ravagé une bonne partie de notre monde. Dago est enfermé dans l'hôpital psychiatrique, dans ce bâtiment où nous nous trouvons ici-même. Et vous et moi, Dr Fuentes, nous sommes les derniers à partir.
- Vous voulez dire ... Le laisser ici ?
- Exactement.
- Mais alors ... Ce dossier ... A quoi sert-il ?
- A me rappeler à quel point il est savoureux de supprimer un tel homme dans notre monde avant l'apocalypse. Venez ... La quarantaine va bientôt se lever. Ici, il n'y a plus que Dago ignorant totalement qu'on l'a abandonné et son plat du soir. Bien entendu ... Il va pourrir ici. Tiens, d'ailleurs ... Vous l'entendez chanter ? Quelle innocence. Tout comme lorsqu'il avait 5 ans ...
Dernière édition par Dago Magoa le Lun 10 Déc - 19:39, édité 1 fois
Leah J. Wyatt
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Sujet: Re: Dago Magoa. Dim 9 Déc - 11:41
Bienvenue sur le forum! Contente de te savoir parmi nous ! Alors moi je m'occupe de l'orthographe et franchement aucun problème, je t'accorde donc ton premier oui ! (J'ai attribué mon premier oui! Petit cobaye.)
Elliot effectuera une lecture à son tour qui consistera à voir si ta fiche personnage correspond au contexte historique mais je ne t'apprend pas grand chose je crois ♥!
Dernière édition par Leah J. Wyatt le Mer 13 Mar - 21:24, édité 1 fois
Elliot Dayle
Sujet: Re: Dago Magoa. Dim 9 Déc - 23:41
Superbe fiche Thotho, dommage que tu ne parles pas de l'apocalypse et de la façon dont Dago l'a vécu ( sauf dans le dernier paragraphe ).
Dago Magoa
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Sujet: Re: Dago Magoa. Lun 10 Déc - 14:59
[J'ignore si je peux répondre ici ou plutôt via MP, mais je risque tout de même]
Merci ! Je tiens à éclaircir ce point :
Vu que Dago est passé les derniers jours avant le déclenchement en détention, il a ensuite été transféré dans l'hôpital psy' (le 05 décembre comme je l'ai spécifié durant le dernier paragraphe). Dago a une image subjective de ce qui se déroule ici (infos à la TV / radio, écoute de quelques conversations entre collaborateurs de l'Hôpital ...). C'est fais exprès. Durant mon premier Rp, je vais non seulement détailler la fuite mais également les derniers jours. Lorsque Dago sortira de l'institution, il ne s'attendra pas à devoir traverser un nouvel ère, il ne connaîtra pas l'existence des groupes, des pilleurs, des parasites et comment les tuer ... Il est pour le moment isolé, coupé du monde.
Leah J. Wyatt
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Sujet: Re: Dago Magoa. Mer 13 Mar - 21:23
Coucou! Suite à cette condition de "détail à venir au courant de ton premier Rp", je ne vois plus aucun problème et je te valide vu que Elliot a validé le background dans son intégral et que,personnellement, j'ai validé l'orthographe qui est... Plus que correcte pour ne pas dire parfaite!
Bienvenue parmi nous, jeune habitué du forum ! Si tu as une question, ce que je doute fortement, tu sais où me trouver! Puis n'hésite pas a jeter un coup d'oeil a notre partie flood.